À la frontière franco-britannique, la mort n’est pas une fatalité
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À l'initiative de Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT, et de Patrick Baudouin, président de la Ligue des droits de l'homme, 150 citoyen·nes s'alarment de l'utilisation de l’apologie de terrorisme pour bâillonner l'expression des protestations sociales, démocratiques et écologiques. Parmi les signataires, Étienne Balibar, Rony Brauman, Alain Damasio, Philippe Descola, Cécile Duflot, Didier Fassin, Antoine Garapon, Cédric Herrou, Nancy Huston, Eva Joly, Henri Leclerc et Elias Sanbar.
Un collectif réunissant trente-six ONG et associations s’inquiète dans une tribune au « Monde » des « ajustements de fonctionnement » que le gouvernement apportera dans les prochaines semaines à l’aide médicale de l’Etat. Un pilier de la santé publique risque d’être dangereusement affaibli.
Le 28 février, les sénateurs et les sénatrices prendront part à un vote historique au Palais du Luxembourg : pour ou contre renforcer la protection du droit à l’interruption volontaire de grossesse (IVG) en l’inscrivant dans la Constitution française. Il y a un an, ils ont fait un pas sans précédent en votant en faveur de cette initiative. L’heure est aujourd’hui à la concrétisation de leur engagement.
Dans une tribune au « Monde », un collectif d’associations, dont Médecins du monde, le Secours catholique et Action contre la faim, interpelle les pouvoirs publics concernant l’impact de la préparation et de la tenue des Jeux sur les populations en grande précarité en Ile-de-France, alors que la question est évoquée aujourd’hui au Conseil de Paris.
« Associations, collectifs de personnes exilées, collectivités accueillantes et syndicats, nous demeurons scandalisé·es par l'adoption du projet de loi asile et immigration ». Appelant à rejoindre les mobilisations des 14 et 21 janvier contre ce texte « qui concrétise une victoire de l'extrême droite et de ses idées », un large front d'organisations affirme sa détermination, aux côtés du corps médical, universitaires, collectivités, et autres pans entiers de notre société qui ont pris position ces dernières semaines.
M. Macron, agissez maintenant pour un cessez-le-feu immédiat à Gaza !
Nos organisations vous demandent de vous opposer à une nouvelle restriction du droit au séjour pour raison médicale. Ce droit protège les étrangers gravement malades qui vivent en France et ne peuvent pas accéder aux soins dans leur pays d’origine en leur permettant de solliciter un titre de séjour pour se soigner.
Depuis plusieurs mois, la France assiste avec dépit à une surenchère politique et sécuritaire ciblant les consommateurs de drogues. Cette addiction à la répression est pourtant inefficace, coûteuse et dangereuse, selon le selon le Collectif pour une nouvelle politique des drogues (CNPD), qui prône, avec un collectif de personnalités signataires, le débat sur la dépénalisation.
Nos institutions refusent de tenir compte des violences sexistes et sexuelles subies par les femmes étrangères en France estime, dans une tribune au « Monde », un collectif rassemblant plusieurs associations qui s’opposent au choix délibéré de l’inaction.
Nous, soignants de toutes spécialités et de toutes origines, souhaitons nous opposer fermement et de manière unie au projet de suppression de l’aide médicale d’Etat (AME) au profit d’un dispositif dégradé.
Face à la crise d’eau d'une ampleur sans précédent qui touche l’ensemble de la population à Mayotte, et malgré les dernières mesures annoncées ce jour, le 6 octobre, par le gouvernement, plusieurs associations et organisations humanitaires, unissent leurs voix pour lancer un appel à des mesures urgentes.
Tribune. Avec « Wuambushu », le gouvernement français a lancé depuis fin avril à Mayotte une opération de grande ampleur ayant pour objectifs affichés la destruction de bidonvilles, l’expulsion de milliers de personnes étrangères en situation irrégulière et le démantèlement de bandes délinquantes.
TRIBUNE. 29 responsables associatifs et 22 députés s'inquiètent du nombre croissant d'enfants à la rue, et appellent, entre autres, à maintenir le financement de places d'hébergement d'urgence.
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