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Rapport scientifique
Le cancer du col de l’utérus est, dans les pays à niveaux faible et intermédiaire de revenus, le cancer le plus fréquent et la principale cause de mortalité par cancer chez la femme. Au Burkina Faso, le cancer du col est le deuxième cancer le plus fréquent chez les femmes.
L’utilisation d’un test pour détecter le papillomavirus (HPV) est l’une des approches recommandées par l’OMS pour le dépistage du cancer du col de l’utérus car la quasi-totalité des cancers du col de l’utérus sont causés par une infection persistante à ce virus. Toutefois, la majorité des infections par HPV régressent spontanément sans conduire à un cancer et, par conséquent, un dépistage par test HPV seul pourrait conduire à des faux négatifs.
Pour les tranches d’âges jeunes (inférieures à 30 ans), le test HPV se révèle souvent peu pertinent comme moyen de dépistage car ces années qui suivent le début des rapports sexuels se caractérisent par un fort taux de positivité à l’HPV mais une faible proportion de lésion précancéreuses du fait de l’histoire naturelle de ces lésions qui se développent sur plusieurs années. C’est pour cette raison que le test HPV comme moyen de dépistage n’est généralement pas recommandé chez les moins de 30 ans. Il est apparu pertinent d’objectiver ses connaissances à partir de données contextuelles issues des données d’activités pour reconsidérer les tranches d’âge éligibles au test par HPV.